Internet est un domaine d’activité dont l’évolution est exponentielle depuis la fin des années 60. Le secteur a pris une nouvelle envergure en 2020, lorsque le monde a été frappé par la pandémie du Covid 19. Privés de contacts physiques, Internet est devenu pour les humains le seul moyen de maintenir les interactions sociales nécessaires à la poursuite de ses activités personnelles et professionnelles.
Cette période est un catalyseur pour l'adoption du Cloud, devenu l'usage dominant d'Internet à la base de nos communications.
Internet est un domaine d’activité dont l’évolution est exponentielle depuis la fin des années 60. Le secteur a pris une nouvelle envergure en 2020, lorsque le monde a été frappé par la pandémie du Covid 19. Privés de contacts physiques, Internet est devenu pour les humains le seul moyen de maintenir les interactions sociales nécessaires à la poursuite de ses activités personnelles et professionnelles.
Cette période est un catalyseur pour l'adoption du Cloud, devenu l'usage dominant d'Internet à la base de nos communications.
Qu'est-ce qu'un Cloud ?
D'un point de vue pragmatique, un Cloud désigne un ensemble de serveurs informatiques sur lesquels fonctionnent des logiciels et des bases de données. Ce Cloud est alors accessible par l'intermédiaire d'Internet, directement sous forme d'un service opérationnel pour ses usagers.
Ces serveurs informatiques qui constituent physiquement un Cloud se trouvent dans un ou plusieurs centres de données qui peuvent se trouver répartis dans le monde entier. Grâce au Cloud, les entreprises et ses autres usagers n’ont plus besoin de posséder leurs propres serveurs dans leurs locaux ni même d'installer leurs propres applications logicielles sur ces serveurs.
Le Cloud est une solution séduisante car elle présente plusieurs avantages :
D'un point de vue pragmatique, un Cloud désigne un ensemble de serveurs informatiques sur lesquels fonctionnent des logiciels et des bases de données. Ce Cloud est alors accessible par l'intermédiaire d'Internet, directement sous forme d'un service opérationnel pour ses usagers.
Ces serveurs informatiques qui constituent physiquement un Cloud se trouvent dans un ou plusieurs centres de données qui peuvent se trouver répartis dans le monde entier. Grâce au Cloud, les entreprises et ses autres usagers n’ont plus besoin de posséder leurs propres serveurs dans leurs locaux ni même d'installer leurs propres applications logicielles sur ces serveurs.
Le Cloud est une solution séduisante car elle présente plusieurs avantages :
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Résilience : Toutes les données peuvent être accessibles depuis n’importe quel terminal et en théorie ne peuvent être perdues même en cas d'altération du matériel qui assure leur stockage.
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Évolutivité : Les services qui reposent sur un Cloud peuvent s’étendre et s’élargir à volonté grâce à des mécanismes qui adaptent de façon automatisée les ressources d’infrastructure supplémentaires au besoin en temps réels.
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Rapidité : L’accès aux données stockées sur le Cloud est instantané depuis le monde entier.
C'est pourquoi selon le Gartner, le Cloud public, désignant les services de Cloud dont l'usage est partagé entre une multitude d'utilisateurs issus d'organisations différentes, connaît une croissance mondiale annuelle proche de 20% jusqu’en 2021. Le Gartner prédit également qu’en 2026, les dépenses dans le Cloud public représenteront 45% du budget informatique des entreprises contre 17% en 2021.
C'est pourquoi selon le Gartner, le Cloud public, désignant les services de Cloud dont l'usage est partagé entre une multitude d'utilisateurs issus d'organisations différentes, connaît une croissance mondiale annuelle proche de 20% jusqu’en 2021. Le Gartner prédit également qu’en 2026, les dépenses dans le Cloud public représenteront 45% du budget informatique des entreprises contre 17% en 2021.
Les Enjeux du Cloud
Si toutes nos données, et tous nos échanges ont ainsi vocation à transiter par un Cloud, cela soulève de nombreuses questions primordiales :
Si toutes nos données, et tous nos échanges ont ainsi vocation à transiter par un Cloud, cela soulève de nombreuses questions primordiales :
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Écologie : Le Shift Project (Lean ICT) souligne que les émissions du secteur du numérique devraient atteindre 7,5% des émissions mondiales dès 2025, soit 3 milliards tCO2e, si le secteur suit la tendance actuelle.
Dans ce contexte, le Cloud que vous utilisez est-il vertueux ? Aqua Ray s'est donné pour mission d'adresser cette problématique en concevant les centres de données les plus écologiques du monde. C'est notamment l'objet de notre projet Kalgan : un centre de données innovant qui recycle la chaleur fatale en produisant des micro-algues, qui participent à capter le CO2 dans l'atmosphère.
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Sécurité : Vos données qui sont stockées ou qui sont traitées par un Cloud sont-elles durables ? Risquent-elles d'être altérées, modifiées, supprimées suite à une avarie catastrophique ? Si celles si sont sensibles, comment garantir que l'opérateur en qui vous placez votre confiance sera bien en capacité de les protéger et cherchera bien à protéger vos secrets ?
Aqua Ray adresse ce point en organisant ses services en conformité avec le référentiel normatif ISO 27001. De multiples redondances sont en place, nos procédures sont adaptées et nous ré-évaluons régulièrement l'ensemble, dans une démarche d'amélioration continue transparente vis-à-vis de nos clients.
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Souveraineté : Votre opérateur de Cloud est-il maître de la situation ? Est-il indépendant sur l'ensemble de la chaîne de production. Sinon comment pourrait-il vérifier et garantir les réponses aux différentes problématiques ?
À cette question, le gouvernement Français répond qu'il n'est pas nécessaire de maîtriser l'ensemble de la chaine, mais que nous pouvons simplement faire « confiance » à des partenaires industriels, fussent-ils étrangers et peut-être en partie opaques.Chez Aqua Ray, nous considérons que cela est insuffisant.
La maîtrise de la chaîne de production
Quelle est cette chaîne de production ? Ces services s'appuient les uns sur les autres pour bâtir l'édifice solide du Cloud souverain, sur lequel vont reposer tous les usages destinés aux utilisateurs finaux.
Quelle est cette chaîne de production ? Ces services s'appuient les uns sur les autres pour bâtir l'édifice solide du Cloud souverain, sur lequel vont reposer tous les usages destinés aux utilisateurs finaux.
Ce schéma représente les technologies et infrastructures qui composent le Cloud et qui, pour certaines, sont souvent gérées par des entités étrangères.
Le réseau (Internet)
En réalité constitué d'une multitude de réseaux différents et interconnectés. Il permet de raccorder les usagers au service de Cloud. L'ensemble des données vont transiter via ce biais.
Aqua Ray opère son propre réseau qui fait partie d'Internet.
En réalité constitué d'une multitude de réseaux différents et interconnectés. Il permet de raccorder les usagers au service de Cloud. L'ensemble des données vont transiter via ce biais.
Aqua Ray opère son propre réseau qui fait partie d'Internet.
Les centres de données
Concernent des bâtiments robustes, physiquement sécurisés, résistants aux catastrophes, dans lesquels les serveurs informatiques constitutifs du Cloud sont entreposés. En Europe, les centres de données sont dans leur écrasante majorité la propriété d'opérateurs américains : Equinix et Digital Realty.
Aqua Ray fait le choix de construire ses propres centres de données plutôt que de louer les leurs.
Concernent des bâtiments robustes, physiquement sécurisés, résistants aux catastrophes, dans lesquels les serveurs informatiques constitutifs du Cloud sont entreposés. En Europe, les centres de données sont dans leur écrasante majorité la propriété d'opérateurs américains : Equinix et Digital Realty.
Aqua Ray fait le choix de construire ses propres centres de données plutôt que de louer les leurs.
L'alimentation en énergie électrique
En France, le réseau public d'électricité est commun à toutes les exploitations. L'électricité consommée par les centres de données, qui y sont raccordés, est donc majoritairement d'origine nucléaire et donc relativement décarbonée. Mais les centres de données doivent se doter de leurs propres capacités de production, pour être autonomes en cas d'avarie et pour décharger les réseaux lors des pics de consommation. On parle d'effacement.
Aqua Ray contribue à cet effort et projette de produire son énergie électrique lors des phases d'effacement de façon 100% décarbonée par le recours à des générateurs à piles à combustibles à hydrogène. C'est un des enjeux du projet Kalgan.
En France, le réseau public d'électricité est commun à toutes les exploitations. L'électricité consommée par les centres de données, qui y sont raccordés, est donc majoritairement d'origine nucléaire et donc relativement décarbonée. Mais les centres de données doivent se doter de leurs propres capacités de production, pour être autonomes en cas d'avarie et pour décharger les réseaux lors des pics de consommation. On parle d'effacement.
Aqua Ray contribue à cet effort et projette de produire son énergie électrique lors des phases d'effacement de façon 100% décarbonée par le recours à des générateurs à piles à combustibles à hydrogène. C'est un des enjeux du projet Kalgan.
Les serveurs informatiques
Cela concerne les machines elles-mêmes, les micro-processeurs apportants de la puissance de calcul, les systèmes de stockage, les mémoires vives, les mémoires flash et les disques durs. Ces éléments matériels ne sont plus du tout produits en Europe. En attendant la reconstruction d'une offre souveraine sur ce point, il faut choisir ses partenaires avec soin, faire confiance, et bien sûr, contrôler les livrables qui constitueront un élément essentiel du Cloud.
Cela concerne les machines elles-mêmes, les micro-processeurs apportants de la puissance de calcul, les systèmes de stockage, les mémoires vives, les mémoires flash et les disques durs. Ces éléments matériels ne sont plus du tout produits en Europe. En attendant la reconstruction d'une offre souveraine sur ce point, il faut choisir ses partenaires avec soin, faire confiance, et bien sûr, contrôler les livrables qui constitueront un élément essentiel du Cloud.
Les basses couches d'infrastructures : Systèmes de virtualisation et systèmes d'exploitation
Il s’agit de la première couche de logiciels, qui permettront l'exploitation des ressources matérielles par les applications de plus haut niveau. Les compétences existent en Europe et l'Open Source est une chance car elle permet, dans tous les cas, le partage de la connaissance et une opportunité de réel contrôle. Cette couche associée aux précédentes peut permettre de constituer un service de Cloud IaaS (Infrastructure as a Service).
Il s’agit de la première couche de logiciels, qui permettront l'exploitation des ressources matérielles par les applications de plus haut niveau. Les compétences existent en Europe et l'Open Source est une chance car elle permet, dans tous les cas, le partage de la connaissance et une opportunité de réel contrôle. Cette couche associée aux précédentes peut permettre de constituer un service de Cloud IaaS (Infrastructure as a Service).
Les services
Ce sont les applications qui communiqueront avec les usagers, traiteront et transformeront leurs données. C'est cette couche qui est appelée Cloud SaaS (pour Software as a Service). De nombreux opérateurs européens de qualité sont spécialisés dans la conception des logiciels de ce type pour tous les secteurs d'activité.
Ce sont les applications qui communiqueront avec les usagers, traiteront et transformeront leurs données. C'est cette couche qui est appelée Cloud SaaS (pour Software as a Service). De nombreux opérateurs européens de qualité sont spécialisés dans la conception des logiciels de ce type pour tous les secteurs d'activité.
Chez Aqua Ray, nous proposons à la fois des services de Cloud de type IaaS qui sera complété par les applications développées par nos clients, dans le but de constituer leur propre service fini. Mais aussi, des services de type SaaS qui peuvent donc être consommés directement par les usagers sous forme de produits opérationnels. C'est le cas de notre suite de productivité LNF (Le Nuage Français).
La vision d'Aqua Ray est de proposer un véritable Cloud Souverain, c'est à dire, se reposer pour chacune des couches ci-dessus sur un bien ou un service produit en interne, sans recours à la sous-traitance. Cette aspiration n'est pas encore aboutie puisque nous restons au moins en partie dépendants sur certaines d'entre elles : la production d'énergie, la construction du matériel, micro-processeurs et systèmes de stockage, les systèmes d'exploitation ou de virtualisation.
A l'étranger, certaines entreprises partagent cette vision et l'ont presque réalisée. C'est le cas de Google ou de Microsoft par exemple. En Europe, aucune entreprise n'y est encore parvenue.
Les responsables politiques ont mis de côté cet objectif et ont rebaptisé le Cloud Souverain en « Cloud de Confiance ». Il s'agit de déterminer un niveau de confiance acceptable lorsqu'on a recours à un service tiers pour l'un ou l'autre des maillons de la chaine de production.Alors à qui faire confiance ? Certains répondent qu'il faut faire confiance aux grands leaders étrangers comme Amazon, Alibaba, Google, Huawei ou Microsoft, mais il existe d’autres alternatives.
Chez Aqua Ray, nous proposons à la fois des services de Cloud de type IaaS qui sera complété par les applications développées par nos clients, dans le but de constituer leur propre service fini. Mais aussi, des services de type SaaS qui peuvent donc être consommés directement par les usagers sous forme de produits opérationnels. C'est le cas de notre suite de productivité LNF (Le Nuage Français).
La vision d'Aqua Ray est de proposer un véritable Cloud Souverain, c'est à dire, se reposer pour chacune des couches ci-dessus sur un bien ou un service produit en interne, sans recours à la sous-traitance. Cette aspiration n'est pas encore aboutie puisque nous restons au moins en partie dépendants sur certaines d'entre elles : la production d'énergie, la construction du matériel, micro-processeurs et systèmes de stockage, les systèmes d'exploitation ou de virtualisation.
A l'étranger, certaines entreprises partagent cette vision et l'ont presque réalisée. C'est le cas de Google ou de Microsoft par exemple. En Europe, aucune entreprise n'y est encore parvenue.
Les responsables politiques ont mis de côté cet objectif et ont rebaptisé le Cloud Souverain en « Cloud de Confiance ». Il s'agit de déterminer un niveau de confiance acceptable lorsqu'on a recours à un service tiers pour l'un ou l'autre des maillons de la chaine de production.Alors à qui faire confiance ? Certains répondent qu'il faut faire confiance aux grands leaders étrangers comme Amazon, Alibaba, Google, Huawei ou Microsoft, mais il existe d’autres alternatives.